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Coliback gère vos renvois de cadeaux. Dans sa newsletter du 11 Décembre, Frenchweb parle de Coliback
Site très pratique, simple d utilisation et pas cher, très bonne idée de faire des retours moins chers
C'est une directive européenne portant sur le droit des consommateurs et paru au JO européen le 25 octobre 2011 qui met la France dans l'obligation de faire évoluer sa législation sur le e-commerce avant la fin de l'année prochaine.
Le délai de rétractation pourrait par exemple être allongé de 7 jours.
Décorations dans les vitrines des magasins, premières installations de guirlandes lumineuses dans les rues... pas de doute, Noël pointe (déjà) le bout de son nez. Et s'il y en a qui pensent déjà à vos achats, ce sont bien les commerçants, en particulier sur Internet. Pourquoi? Parce qu'une large majorité de Français a l'intention d'acheter des cadeaux sur le web: 70% des sondés selon un sondage Médiamétrie/Net Ratings soit 6 points de plus que l'année dernière. Le e-commerce a le vent en poupe, et des évolutions de la règlementation de cette activité, qui doivent être entérinées en 2013, visent à encourager davantage les consommateurs à acheter sur les sites en ligne.
Une directive européenne votée à l'automne 2011 oblige en effet la France à revoir sa législation pour se mettre en conformité avec les lois supranationales. La loi régissant la vente à distance datant de 1997 et celle dite loi Chatel de 2008 sont donc en cours de réforme. Pour le consommateur, trois évolutions marquantes sont prévues par la directive européenne: • 7 jours de plus pour changer d'avis : Si l'acheteur change d'avis, il bénéficiera d'un délai de rétractation plus long qui passera de 7 à 14 jours. Le consommateur aura ensuite 14 jours de plus pour retourner le produit au commerçant, et celui-ci devra rembourser le produit sous deux semaines après avoir été averti de la décision du consommateur. "La durée actuelle du délai de rétractation, qui varie tant entre les différents Etats membres que pour les contrats à distance et les contrats hors établissements, crée une insécurité juridique et génère des coûts de mise en conformité" est il écrit dans directive paru le 25 octobre 2011. Toutefois, ce point fait tiquer les e-commerçants. La FEVAD (Fédération du e-commerce et de la vente à distance), par la voix de son délégué général Marc Lolivier, considère "qu'il y a un vrai problème à ce niveau puisqu'il se pourrait que le commerçant rembourse avant de constater le retour en bonne et due forme du produit". La FEVAD craint par exemple le retour de colis vides ou d'objets déteriorés. • Disparition des prix d'appel sur les sites: Avant tout début de commande, le consommateur verra s'afficher le prix total et non un prix "sec" auquel il faut ajouter des frais annexes (frais de livraison, assurance...). Ce serait alors la fin de prix d'appel qui gonflent au fur et à mesure du processus de commande sur le site, comme c'est par exemple le cas lors de la réservation de certains billets d'avion low cost. "Il est bon que l'information soit transparente et d'éviter ainsi un effet de surprise néfaste. Cependant les coûts de livraison variant en fonction du lieu de livraison, le prix affiché ne sera pas invariable", prévient Marc Lolivier. Cette amélioration de l'information en phase pré-contractuelle n'aura toutefois pas de conséquence sur la publicité. La mention d'un prix "à partir de" devrait donc perdurer. • Aucune case ne pourra être pré-cochée : Ce type de case devient interdit, elles sont notamment utilisées aujourd'hui pour l'approbation des Conditions Générales de Vente.
Le 10 septembre 2012, le Conseil d'analyse économique (CAE) a présenté son rapport sur l'encadrement du commerce. A cette occasion, Benoît Hamon, ministre délégué chargé de l'Economie sociale et solidaire et de la Consommation, a lancé l'étape d'après: celle de la concertation avec des juristes, des économistes, des représentants des consommateurs, afin que soient mieux définis les contours du projet de loi. "L'objectif c'est que les dédommagements soient proportionnels aux dommages", a déclaré M. Hamon. De son coté, la FEVAD s'oppose à certaines dispositions et a rencontré les équipes du ministre début novembre pour faire valoir son point de vue. Le texte devrait être présenté en conseil des ministre d'ici à fin janvier et son examen par la Parlement est prévu pour le premier semestre 2013. L'Union européenne impose une application de la directive à partir de la fin de l'année prochaine. Source: La Tribune
Très bon service, à recommander !
Lors de mon retour, le marchand a refusé le colis, ce qui a retardé le remboursement, litige très bien géré par l'équipe de Coliback ! Je recommande...
"Service très professionnel, de qualité, et réactif. Service que je réutiliserais pour tous mes retours à l'avenir, à recommander sans hésiter." Stéphi S.
Quant aux grands axes de développement en matière d’e-commerce pour les trois prochaines années, 3 grandes tendances émergent : Les recommandations personnelles des utilisateurs pour créer un effet « bouche-à-l’oreille » arrivent en tête (77%), suivis de très près par le renforcement des stratégies multicanales (76%) pour connecter davantage les activités online et offline, telles que l’achat en ligne et le retrait sur place.
Le commerce sur mobile, qui profite de l’essor du marché des smartphones et tablettes, se positionne au troisième rang, 68% des marchands affirment son importance dans les années à venir.
Toutefois, on observe également que seulement 15% des
marchands accordent de l’importance à leur propre application mobile, les coûts de développement représentant sans doute un frein notamment pour les plus petites structures.
Si les marchands n’ont pas encore adopté les outils du marketing social, ils s’appuient toutefois largement sur les techniques conventionnelles pour attirer des visiteurs sur leurs sites.
Afin d’optimiser les résultats et diversifier leur
cible, les e-commerçants utilisent en moyenne 6,9 supports différents pour générer du trafic (9,3 pour les sites de plus de 100 salariés et 5,2 pour les structures de moins de 5 personnes). Alors que les choix des leviers varient
selon l’offre et les moyens budgétaires des marchands, il y a quasi unanimité sur le top 3 : le SEO (85%), le SEM (81%) et les newsletters (76%) arrivent largement en tête et sont devenus incontournables pour la majorité des
marchands. Les publicités Facebook en revanche ne sont utilisées que par 35% des e-commerçants.
Pour les marchands interrogés, les comparateurs restent également un support important. 54% d’entre eux ont augmenté leurs investissements sur les comparateurs au cours des 12 derniers mois, tout en se concentrant sur une
sélection des comparateurs les plus performants : la moitié des marchands travaille avec moins de 6 comparateurs et un sur cinq limite la coopération sur moins de trois comparateurs. La sélection des partenaires suit des critères de performance, les principaux facteurs étant l’optimisation du ROI (78%), la visibilité sur les sites où se rendent les consommateurs pour préparer leurs achats (75%), un taux de conversion élevé (72%) et le recrutement de nouveaux clients (70%).
Extrait d'article : Plus d’un e-commerçant français sur deux estime que les réseaux sociaux sont surestimés Source: ITRnews.com
La Fevad (Fédération du e-commerce et de la vente à distance) a donné les chiffres du e-commerce dans l'Hexagone pour le compte du deuxième trimestre : elle recense 4% de cyberacheteurs en plus qu'à la même période en 2011. Le chiffre d'affaires grimpe de 21%
Source: clubic.com